Chère
éloquence,
je souhaiterais te féliciter pour tous les progrès que tu
as pu faire au cours de ma vie. Je sais que cela n’est
que me commencement, mais je suis déjà si fière
de toi !
Te
rappelles-tu lorsque j'avais 4 ans ? Quand je suis entrée
en maternelle et que je ne connaissais pas la langue française.
Lorsque la maîtresse
avait demandé de
sortir les ardoises et que je ne savais pas quoi faire ? Lorsque j’avais
un problème
mais que je ne savais pas quoi dire ? Lorsque je me suis fait punir car je ne
connaissais pas les couleurs ?
Te
rappelles-tu lorsque j'avais 8 ans ? Lorsque j’étais
arrivée
dans une nouvelle école, que je ne connaissais personne.
Je ne voulais pas m’exprimer. Je ne souhaitais pas
communiquer. Puis je me suis fait des amis, j’ai
parlé,
j’ai
même
était
beaucoup trop bavarde pendant les cours. Et j’ai
adoré ça
!
Tu
as été si
moindre pendant ces années. Mais au combien tu as su t’améliorer.
Je suis si fière
de toi. C’est
d’ailleurs
lorsque je suis entrée au lycée
que j’ai
apprécié les
exposés.
C’est
aussi en entrant au lycée que les commentaires sur mes
bulletins de notes disaient tous « Trop bavarde ».
C’est
à ce
moment-là que
toi, mon éloquence,
tu t’es
montrée.
C’est
grâce
à toi
qu’aujourd’hui je peux parler, m’exprimer correctement, me faire des
amis, rencontrer des personnes….
Je
sais que ce n’est
que le début.
Je sais que tu seras encore meilleure dans quelques années.
Mais je peux déjà te
le dire : jamais je ne te remercierai assez.
Marta KLYCINSKI
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